La Paroisse Notre Dame des 12 Apôtres regroupe
2 communautés Chrétiennes et 12 clochers :

C.C.L. de Concarneau-Trégunc

Concarneau centre (St Guénolé), St Anne du Passage, Beuzec-Conq (St Budoc), Lanriec (Notre Dame de Lorette), Trégunc (St Marc et St Philibert).

C.C.L. de Rosporden

Rosporden (Notre Dame de Rosporden), Melgven (Sts Pierre et Paul), Elliant (St Gilles), Kernével (St Colomban),
St Yvi (Notre Dame), Tourc’h (St Cornély).

Quatrième dimanche de Carême : dimanche « Laetare », dimanche de la joie !

Actualités

7 mars 2025Accompagné par Monseigneur Dognin, le diocèse de Quimper et Léon organise un pèlerinage au sanctuaire de Sainte-Anne d’Auray à l’occasion du jubilé le dimanche 6 avril 2025. Ce pèlerinage est une opportunité spirituelle unique pour les fidèles de se réunir, prier et se ressourcer dans un lieu sacré empreint d’histoire et de dévotion. Contexte historique. Sainte-Anne d’Auray est le principal lieu de pèlerinage breton dédié à Sainte Anne, mère de la Vierge Marie. Selon la tradition, Sainte Anne serait apparue à Yves Nicolazic en 1624, lui demandant de reconstruire une chapelle en son honneur. Depuis lors, le sanctuaire attire des milliers de pèlerins chaque année. Les inscriptions : des bulletins d’inscription sont à votre disposition dans les différents clochers de la paroisse et ci-dessous. ils sont à expédier au service des pèlerinage Pour plus d’infos, et découvrir le programme  vous pouvez :  Télécharger le flyer en cliquant ici Télécharger la brochure en cliquant ici                                         Télécharger les conditions de participation en cliquant ici Et pour vous inscrire  vous pouvez :  Télécharger le bulletin d’inscription en cliquant ici Vous inscrire en ligne grâce à ce formulaire [...] Lire la suite…
3 mars 2025Chers frères et sœurs, avec le signe pénitentiel des cendres sur la tête, nous commençons le pèlerinage annuel du Saint Carême dans la foi et dans l’espérance. L’Église, mère et maîtresse, nous invite à préparer nos cœurs et à nous ouvrir à la grâce de Dieu pour que nous puissions célébrer dans la joie le triomphe pascal du Christ-Seigneur, sur le péché et sur la mort. Saint Paul le proclame : « La mort a été engloutie dans la victoire. Ô Mort, où est ta victoire ? Ô Mort, où est-il, ton aiguillon ? » ( 1 Co 15, 54-55). En effet, Jésus-Christ, mort et ressuscité, est le centre de notre foi et le garant de la grande promesse du Père qu’est la vie éternelle déjà réalisée en son Fils bien-aimé (cf. Jn 10, 28 ; 17, 3). Je voudrais proposer à l’occasion de ce Carême, enrichi par la grâce de l’année jubilaire, quelques réflexions sur ce que signifie marcher ensemble dans l’espérance, et découvrir les appels à la conversion que la miséricorde de Dieu adresse à tous, en tant qu’individus comme en tant que communautés. Tout d’abord, marcher. La devise du Jubilé, “pèlerins de l’espérance”, nous rappelle le long voyage du peuple d’Israël vers la Terre promise, raconté dans le livre de l’Exode : une marche difficile de l’esclavage à la liberté, voulue et guidée par le Seigneur qui aime son peuple et lui est toujours fidèle. Et nous ne pouvons pas évoquer l’exode biblique sans penser à tant de frères et sœurs qui, aujourd’hui, fuient des situations de misère et de violence, partant à la recherche d’une vie meilleure pour eux-mêmes et pour leurs êtres chers. Un premier appel à la conversion apparaît ici, car, dans la vie, nous sommes tous des pèlerins. Chacun peut se demander : comment est-ce que je me laisse interpeller par cette condition ? Suis-je vraiment en chemin ou plutôt paralysé, statique, dans la peur et manquant d’espérance, ou bien encore installé dans ma zone de confort ? Est-ce que je cherche des chemins de libération des situations de péché et de manque de dignité ? Ce serait un bon exercice de Carême que de nous confronter à la réalité concrète d’un migrant ou d’un pèlerin, et de nous laisser toucher de manière à découvrir ce que Dieu nous demande pour être de meilleurs voyageurs vers la maison du Père. Ce serait un bon “test” pour le marcheur. En second lieu, faisons ce chemin ensemble. Marcher ensemble, être synodal, telle est la vocation de l’Église. Les chrétiens sont appelés à faire route ensemble, jamais comme des voyageurs solitaires. L’Esprit Saint nous pousse à sortir de nous-mêmes pour aller vers Dieu et vers nos frères et sœurs, et à ne jamais nous refermer sur nous-mêmes. Marcher ensemble c’est être des tisseurs d’unité à partir de notre commune dignité d’enfants de Dieu (cf. Ga 3,26-28) ; c’est avancer côte à côte, sans piétiner ni dominer l’autre, sans nourrir d’envies ni d’hypocrisies, sans laisser quiconque à la traîne ou se sentir exclu. Allons dans la même direction, vers le même but, en nous écoutant les uns les autres avec amour et patience. En ce Carême, Dieu nous demande de vérifier si dans notre vie, dans nos familles, dans les lieux où nous travaillons, dans les communautés paroissiales ou religieuses, nous sommes capables de cheminer avec les autres, d’écouter, de dépasser la tentation de nous ancrer dans notre autoréférentialité et de nous préoccuper seulement de nos propres besoins. Demandons-nous devant le Seigneur si nous sommes capables de travailler ensemble, évêques, prêtres, personnes consacrées et laïcs, au service du Royaume de Dieu ; si nous avons une attitude d’accueil, avec des gestes concrets envers ceux qui nous approchent et ceux qui sont loin ; si nous faisons en sorte que les personnes se sentent faire partie intégrante de la communauté ou si nous les maintenons en marge. Ceci est un deuxième appel : la conversion à la synodalité. Troisièmement, faisons ce chemin ensemble dans l’espérance d’une promesse. Que l’ espérance qui ne déçoit pas (cf. Rm 5, 5), le message central du Jubilé , soit pour nous l’horizon du chemin de Carême vers la victoire de Pâques. Comme nous l’a enseigné le Pape Benoît XVI dans l’encyclique Spe salvi : « L’être humain a besoin de l’amour inconditionnel. Il a besoin de la certitude qui lui fait dire : “Ni la mort ni la vie, ni les esprits ni les puissances, ni le présent ni l’avenir, ni les astres, ni les cieux, ni les abîmes, ni aucune autre créature, rien ne pourra nous séparer de l’amour de Dieu qui est en Jésus-Christ” (Rm 8, 38-39) ». Jésus, notre amour et notre espérance, est ressuscité, il vit et règne glorieusement. La mort a été transformée en victoire, et c’est là que réside la foi et la grande espérance des chrétiens : la résurrection du Christ ! Et voici le troisième appel à la conversion : celui de l’espérance, de la confiance en Dieu et en sa grande promesse, la vie éternelle. Nous devons nous demander : ai-je la conviction que Dieu pardonne mes péchés ? Ou bien est-ce que j’agis comme si je pouvais me sauver moi-même ? Est-ce que j’aspire au salut et est-ce que j’invoque l’aide de Dieu pour l’obtenir ? Est-ce que je vis concrètement l’espérance qui m’aide à lire les événements de l’histoire et qui me pousse à m’engager pour la justice, la fraternité, le soin de la maison commune, en veillant à ce que personne ne soit laissé pour compte ? Sœurs et frères, grâce à l’amour de Dieu en Jésus-Christ, nous sommes gardés dans l’espérance qui ne déçoit pas (cf. Rm 5, 5). L’espérance est “l’ancre de l’âme”, sûre et indéfectible. C’est en elle que l’Église prie pour que « tous les hommes soient sauvés » (1Tm 2,4) et qu’elle attend d’être dans la gloire du ciel, unie au Christ, son époux. C’est ainsi que s’exprime sainte Thérèse de Jésus : « Espère, ô mon âme, espère. Tu ignores le jour et l’heure. Veille soigneusement, tout passe avec rapidité quoique ton impatience rende douteux ce qui est certain, et long un temps très court » ( Exclamations de l’âme à son Dieu, 15, 3). Que la Vierge Marie, Mère de l’Espérance, intercède pour nous et nous accompagne sur le chemin du Carême. Rome, Saint-Jean-de-Latran, 6 février 2025, mémoire de Saint Paul Miki et ses compagnons, martyrs. Cf. Lett. enc. Dilexit nos (24 ottobre 2024), n. 220 Cf. Homélie de la messe de canonisation des Bienheureux Giovanni Battista Scalabrini e Artemide Zatti, 9 octobre 2022. Cf. Idem. Cf. Ibid. Cf. Bulle Spes non confundit, n. 1. Lett. enc. Spe salvi (30 novembre 2007), n. 26. Cf. Séquence du dimanche de Pâques. Cf. Catéchisme de l’Église catholique, n. 1820. Idem., n. 1821. [...] Lire la suite…
3 février 2025Le Conseil pour les Affaires Economiques rend compte chaque année aux fidèles de l’évolution des comptes de la Paroisse. Nous sommes heureux de le faire aujourd’hui. En 2023 : Baisse des recettes de 1 % Baisse des dépenses de 4 %. Résultat déficitaire de 89 099€ La paroisse montre un résultat déficitaire en 2023, comme tous les ans depuis des années.C’est l’effort de tous qui permettra d’améliorer la situation :1. Les paroissiens par leurs dons, et leur bonne volonté face aux « sacrifices » demandés.2. Le Conseil pour les Affaires Economiques et les Communautés Chrétiennes Locales par une gestion rigoureuse. Père Jarek Reda, curéEt le Conseil pour les Affaires Economiques [...] Lire la suite…
10 janvier 2025Après avoir vécu un beau temps fort de l’Avent et proposé une petite animation lors des Veillées de Noël, les enfants du caté ont rendu visite aux résidents de l’EHPAD Kerlenn à Rosporden, le 2 Janvier, pour leur apporter la joie de Noël et présenter leurs bons voeux ! Chants, conte sur l’Epiphanie, échange et petit cadeau ont ponctué ce beau moment de partage ! [...] Lire la suite…
24 décembre 2024Chers amis, Je m’adresse à vous depuis la cathédrale Saint Corentin à Quimper, où est accueillie cette année une magnifique crèche de l’artiste orfèvre Gilbert Liblin. La crèche, je le rappelle, nous introduit au cœur de la raison d’être de la fête de Noël qui est la naissance de Jésus, le Sauveur du monde. Dieu s’est fait homme en Jésus et il a choisi de naître dans une humble étable de Bethléem. Avec Marie et Joseph, ils ont fait l’expérience d’être loin de chez eux, de ne pas trouver d’hébergement et de trouver refuge dans une étable. Il ne s’agit pas seulement d’un contexte historique difficile. Dieu, en prenant la condition humaine, a voulu habiter nos vies, partager nos joies, nos peines, nos souffrances et surtout nous ouvrir un chemin de vie plus fort que la mort. Cet amour de Jésus pour chacun de nous, le Pape vient d’en publier une encyclique qui commence par ces mots : Dilexit nos. Ce qui veut dire « Il nous a aimés » en latin. Et le Pape nous dit : « Offrons au Cœur du Christ une nouvelle possibilité de répandre en ce monde les flammes de son ardente tendresse. » Il nous invite à laisser l’amour du Christ transformer nos familles, nos relations et même notre société. Vivons cet amour par des gestes concrets de charité et de pardon, pour apporter la paix et la réconciliation dans un monde marqué par les violences et les divisions, parfois même au sein de nos propres familles. Il se trouve que cette naissance de Jésus a eu lieu il y a 2025 ans, puisque nous comptons les années à partir de sa naissance. Tous les 25 ans, une année jubilaire nous invite à raviver notre foi, à approfondir notre amour, pour Dieu et pour les autres, à demander pardon et à nous pardonner mutuellement, à nous laisser transformer par l’Évangile et à devenir des témoins de la joie qui vient de Dieu. C’est dans cette dynamique de l’année jubilaire que le pape François nous invite à entrer en devenant pèlerins de l’espérance. Thème qu’il a donné à cette année sainte et qu’il ouvrira dans la nuit de Noël, puis par moi le 29 décembre prochain*, dans cette cathédrale, lors de la fête de la Sainte Famille de Jésus. À quelques jours de Noël, je pense avec une profonde affection à toutes les personnes malades, fragiles ou seules en cette période. Avec simplicité, ouvrons nos cœurs et nos foyers pour leur offrir un peu de chaleur et de réconfort. Enfin, je tiens à remercier nos prêtres, nos diacres, nos religieux, nos religieuses, nos laïcs en mission et bien évidemment nos bénévoles pour leur engagement tout au long de l’année. Merci d’annoncer cette Bonne Nouvelle et d’être aux côtés de ceux qui en ont besoin. Je vous souhaite une joyeuse et sainte fête de la Nativité du Seigneur Jésus. Qu’elle soit pour vous, pour vos proches et pour le monde, source de lumière, d’Espérance, de joie et d’amour et qu’elle illumine l’année Sainte qui vient. Nedeleg laouen ha Bloavez Mad on oll ! † Mgr Laurent DogninÉvêque de Quimper et Léon [...] Lire la suite…
9 décembre 2024Présentation proposée sur le site Internet du diocèse de Quimper et Léon. Dès les premiers temps de l’Église, des « cellules de vie » se constituent, parfois organisées en maisonnées. Aujourd’hui, dans les paroisses aux grandes étendues, ces Petites Fraternités sont appelées à constituer des lieux vitaux de proximité et de mission. Répondant à la quête de sens de nos contemporains, ces Petites Fraternités Chrétiennes Locales se veulent la traduction concrète du désir exprimé par beaucoup qu’existent des lieux fraternels et ouverts à tous, où puissent se vivre des temps de partage et de prière en commun. Il s’agit de petites équipes accueillantes à toute personne désireuse de découvrir l’Évangile. Elles permettent aussi l’accueil et l’intégration des néophytes ou des personnes qui ne se sentent pas (encore) à l’aise dans les communautés paroissiales. Les Petites Fraternités Chrétiennes Locales sont : Des lieux d’expérience de foi et de croissance dans l’intimité avec Dieu… Favorisant la fraternité entre les fidèles, l’accueil de tous et l’attention à leur entourage… Développant l’entraide et le soutien mutuel… Dans un art authentique de la proximité… S’informant mutuellement sur la vie de l’Église. Elles sont la première présence ecclésiale sur le territoire. La paroisse devient alors « communauté de communautés » (Pape François, La joie de l’Évangile, n° 28) et le curé en est le ministre de la Communion. La vie de la paroisse doit dorénavant se constituer non à partir de la structure centrale, mais à partir de la réalité de la présence des disciples-missionnaires, qu’elle soit très modeste ou plus importante. Pourquoi susciter des Petites Fraternités Chrétiennes Locales ? Pour que l’Église soit au plus près des lieux de vie des Finistériens ! C’est ainsi que l’on pourrait résumer l’objectif essentiel des Petites Fraternités Chrétiennes Locales. Alors que tous perçoivent l’isolement grandissant dans nos communes et aussi dans les quartiers de nos villes, l’Église a cette force d’être présente là où vivent deux ou trois chrétiens. beaucoup en ont d’ailleurs fait l’expérience durant le confinement dû à la COVID-19. Jusque-là, nous rêvions que nos paroisses soient structurellement présentes sur tout le territoire. Aujourd’hui, nous comprenons que les Petites Fraternités Chrétiennes sont des relais essentiels et humains au plus proche de nos contemporains. Du fait de notre baptême, chacun est responsable de la vie évangélique et de la présence de l’Église dans son quartier ou sa commune. Qui doit être à l’initiative de la création d’une Petite Fraternité Chrétienne Locale ? N’attendez pas que quelqu’un vienne vous chercher ! Puisque vous avez ce document en main, lancez-vous ! Parlez-en autour de vous (localement bien-sûr) ou organisez une des actions proposées dans la boîte à idées. Qui peut faire partie d’une Petite Fraternité Chrétienne Locale ? Toute personne qui perçoit un attachement de près ou de loin à la personne du Christ. On peut y inviter en particulier les catéchumènes, les néophytes, les recommençants, les confirmés adultes, ceux qui ont suivi un Parcours Alpha, etc. Toute personne, pratiquante ou pas, qui estime que le monde serait bien triste s’il n’y avait pas le message de l’Évangile. Beaucoup autour de nous, pour de multiples raisons, ne se sentent pas prêts à pousser la porte de l’église le dimanche pour se rendre à la messe. En revanche, certains accepteront de vivre aujourd’hui en lien avec une Petite Fraternité Chrétienne Locale pour se sentir soutenus. Quel est le rôle des membres d’une Petite Fraternité Chrétienne Locale ? Vivre ensemble le soutien mutuel, la convivialité et la joie. Porter le souci de la vie locale en s’encourageant à rendre des petits services dans le voisinage. Lire un passage de la Bible, court ou long, échanger et prier. Et surtout garder sa fraternité toujours prête à accueillir une nouvelle personne. Vous souhaitez créer une petite fraternité chrétienne local ? Vous êtes invités le Mercredi 18 décembre à 19H00 à la salle paroissiale de Rosporden 7 rue de Reims, ou à la salle Ste Anne au Passage (derrière l’église rue de Trégunc) pour une réunion d’information sur les petites fraternités chrétiennes locales. Ci-dessous, 3 outils à télécharger pour vous accompagner : [...] Lire la suite…